LES RÉVÉLATIONS proposent exclusivement du café libre de caféine  (0,1% de caféine pour les décaféinés et 0,6% pour les naturellement faibles en caféine). Le décaféiné est notre spécialité, notre raison d’être, et notre passion. Pour  révéler son potentiel, nous apportons le plus grand soin à chaque étape de son élaboration.

Selon la réglementation européenne appliquée à la France( (Décret n°91-340 du 3 avril 1991), le taux de caféine ne doit pas excéder 0,1 % dans un décaféiné. Pour se conformer à ce règlement, nos  cafés sont débarrassés de leur caféine par des procédés naturels et sans additifs ou possèdent naturellement une faible teneur en caféine (<0,6%).

C’est Ludwig Roselius, le fondateur de la marque Kaffee Hag. En 1903, sa cargaison de café, transportée par bateau, arrive détrempée. L’eau a éliminé la caféine des grains, sans cependant altérer le goût du café. Pour reproduire ce phénomène, Ludwig met au point une méthode industrielle. Il recourt à un puissant dissolvant, le benzène qui se révèle cancérogène. D’autres méthodes sont alors mises au point.

Tous nos cafés sont décaféinés dans le respect des normes européennes, ce qui évite tout effet secondaire lié à la caféine. On peut donc en boire jour et nuit et profiter sereinement de leurs 800 composants aromatiques. Plus que le vin !

Nous proposons des cafés bio, mais tous les cafés LES RÉVÉLATIONS ne sont pas certifiés bio. La certification bio est un processus coûteux qui n’est pas à la portée des petites structures, pourtant engagées dans des modes de production sans entrant synthétique. 

La décaféination de nos grains est le fruit de méthodes naturelles, sans aucun additif :  de l’eau et du  CO2. Ces techniques permettent d’éliminer la caféine tout en préservant les arômes caractéristiques de nos décaféinés  de spécialité. C’est essentiel quand on veut proposer  des cafés, gourmets et gourmands, sans caféine. 

Nous confions les grains de nos cafés décaféinés à un torréfacteur expert, certifié Q Grader. Équipé d’un Loring S35, la Rolls Royce de la torréfaction, il  allie technologie de pointe et savoir-faire artisanal. Il révèle ainsi la personnalité aromatique de chacun de nos décaféinés. LES RÉVÉLATIONS proposent des cafés fraîchement torréfiés, gage d’une qualité aromatique supérieure. 

LES RÉVÉLATIONS se concentrent, exclusivement et avec passion, sur des cafés libres de caféine. Nos collections de déca offrent une large palette d’arômes et de saveurs qui s’adaptent à tous les goûts et aux différents modes de préparation. Fraîchement torréfiés, nos cafés garantissent une dégustation au top de leurs qualités pendant au moins 3 mois

En grains ou moulu, mieux vaut conserver le café à l’abri de la lumière, de l’humidité et de la chaleur. Même une fois ouverts, nos emballages permettent une parfaite conservation. Il suffit de bien chasser l’air avant de refermer le sachet. Vous pouvez consommer LES RÉVÉLATIONS jusqu’à 10 mois après la date de torréfaction, toutefois leurs arômes et saveurs sont à leur apogée dans les 3 mois qui suivent la torréfaction.

Le café en grain s’oxyde moins vite que le café moulu. Mais il requiert un moulin à café manuel ou électrique pour le moudre. Un café fraîchement moulu libère  tout son profil aromatique. Autre avantage : le fait de moudre son café soi-même permet d’adapter la taille de la mouture au type de préparation choisi.

Pour chacun de nos cafés, nous proposons quelques règles élémentaires de préparation pour obtenir une boisson harmonieuse. Ensuite, libre à chaque amateur et amatrice de café de jouer avec ces règles pour trouver la recette qui convient le mieux à ses goûts personnels.

C’est bien gentil d’enlever la caféine du café vert. Mais on en fait quoi, après ? Et bien elle est très souvent vendue aux fabricants de boissons énergétiques qui l’utilisent pour booster leur produit. Rien ne se perd ! 

L’art de la précision : pour Beethoven, le café parfait comptait très exactement 60 grains par tasse. 

L’art de l’excès : Balzac buvait jusqu’à 50 tasses de café par jour pour tenir le rythme de travail forcené qu’il s’imposait au quotidien.

L’art de la dérision : Vers 1734, Johann Sebastian Bach a composé sa “ Cantate du café”, une cantate profane et comique pour se moquer  de l’addiction au café, boisson qui fait alors fureur en Europe.

L’art de la table : au XIXe siècle, le café change de statut, il n’est plus réservé à une élite et vient clôturer le rituel du déjeuner. De grands peintres tels que Pierre Auguste Renoir et Édouard Manet le représentent alors dans leurs tableaux. La classe ! 

L’art du détournement : depuis quelques années, le café est la matière première de prédilection de l’artiste italienne Giulia Bernardelli. Elle l’utilise à la place de l’encre pour créer de superbes œuvres d’art qu’elle partage sur son compte Instagram. 

En 1991, James Quentin Stafford-Fraser et Paul Jardetzky installent la toute première webcam dans le département informatique de l’université de Cambridge. Sa mission ? Surveiller à distance le niveau de la cafetière, et éviter aux employés de l’université de se déplacer inutilement.